Veille Innovations Pédagogiques/Co&axial : Le Game Based Learning

… ou quand le jeu permet d’optimiser le E-learning en lui apportant une dimension ludique avec le: Game Based Learning.

Nous avons tous au moins un souvenir d’effort laborieux quand nous avons eu à apprendre une leçon ou des dizaines de chapitre en ne rêvant que d’une chose : aller se divertir et s’amuser.

Et apprendre en s’amusant, c’est possible ?

Le jeu : Une méthodologie d’apprentissage à part entière

Selon Lev Vygotsky, un pédagogue psychologue soviétique, connu pour ses recherches en psychologie du développement, «le jeu est la principale source de développement des enfants, que ce soit sur le plan affectif, social, physique, langagier ou cognitif»*

C’est donc sans surprise que nous assistons à un franc succès du Game Based Learning (ou GBL ) dans l’enseignement comme dans la formation en entreprise.

Et pour cause puisque cela apporte une amélioration de :

La mémorisation des contenus
L’attention
La motivation de l’apprenant.

Le jeu vidéo : Un format associant plusieurs avantages

La formation en distanciel ou E-learning prend de plus en plus de terrain et ce pour des raisons multiples : coût, crise sanitaire, etc…

Le GBL appliqué au jeu vidéo permet à l’apprenant un entrainement ainsi qu’un véritable développement de nouvelles compétences.

Si le jeu vidéo contient en plus un simulateur générant des réponses personnalisées, c’est alors un processus complet d’apprentissage dont il s’agit.

Le Game Based Learning : Une formation pédagogique optimale

Les jeux de rôle sont courants dans la formation en présentiel.

C’est plus particulièrement dans le développement de compétences de management qu’on les rencontre, et le GBL permet :

Une mise en pratique du savoir
Une évaluation permanente
Une mise en œuvre attrayante, facile et flexible, grâce à son format en ligne.

Pour conclure, le Game Based Learning permet d’apporter au E Learning ce dont il pourrait parfois manquer : un caractère didactique et pédagogique optimal.

Article rédigé par Cyril Montero